« La Belle et la Bête », remake Disney 2017

Mis à jour le vendredi 29 mai 2020 à 12:43

"La belle et la bête" - affiches

 

J’inaugure la catégorie Cinéma de mon blog par un conte de fées à la sauce Disney, dont je ne suis pourtant pas vraiment le public visé, étant davantage féru de fantastique, de science fiction et d’épouvante.

Mais bon, ce film est aussi du fantastique, même si ça ne vaut pas un bon vieil Alien ou Terminator, et je ne serai pas mauvaise langue, c’est un beau spectacle familial et un bon divertissement, si on se prête au jeu. Il est une reproduction fidèle du dessin animé, et de fait, passé le cap de la première scène musicale, on comprend qu’il en est une version filmée. J’ai apprécié l’esprit fantaisiste qui s’en dégageait, et puis, Emma Watson est un joli brin de fille

Emma Watson, la belle et la rose
Emma Watson, la belle et la rose

Le pitch

Est-il tout à fait nécessaire de présenter le pitch de ce conte ? Bon, rapidement alors, il était une fois un prince orgueilleux et vaniteux qui reçut dans son château la visite d’une veille femme cherchant refuge, mais il se moqua d’elle et la congédia, hors, malheureusement pour lui, elle se trouvait être en réalité une enchanteresse, qui, pour le punir, lui jeta un sort, le transformant lui en bête, ainsi que tous ses domestiques en objets de déco vivants. Le sortilège ne pourra être rompu que si le prince parvient à se faire aimer, en dépit de son aspect. Le temps passe, et Belle, jolie villageoise à l’esprit romanesque, s’ennuie ferme dans son petit village. Mais un jour son père se perd en forêt, et tombe sur le château du prince, qui le retiendra captif pour avoir voulu voler une rose dans le jardin, pour la ramener à sa fille. Celle-ci va décider de sacrifier sa liberté pour sauver celle de son père…

Trailer


La Belle et la Bête (2017) – Bande-annonce

Polémiques

Les esprits les plus retords et ultra conservateurs de ce monde – le nôtre, hélas, Russie, Koweit, Malaisie, et même aux États-Unis – arrivent à créer une polémique sur ce conte de fées, allant jusqu’à le censurer, y voyant une forme de propagande flagrante et éhontée du péché et des relations sexuelles perverses. Moi je dis, faut avoir l’esprit sacrément pervers, pour y voir de la perversion, bande de bollos néandertaliens !

Voir article : La Belle et la Bête : ces pays qui censurent un «moment gay»

Série TV

Parmi les multiples adaptations à l’écran de ce conte, il y en a une, modernisée et urbanisée, que j’aimais bien et dont je garde un bon souvenir, c’est la série télé américaine à la fin des années 80, avec la belle Linda Hamilton – héroïne de Terminator 1 & 2 – et Ron Perlman, un acteur que j’apprécie aussi beaucoup (Le Nom de la Rose) – personnage également dans Alien 4, tiens finalement j’ai réussi à lier les trois ! 😀


La Belle et la Bête

La Belle et la Bête, Linda Hamilton et Ron Perlman

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