« Duma Key », roman

Mis à jour le samedi 8 août 2020 à 03:18

Duma Key - couverture

Roman fantastique de Stephen King, publié en 2008.

Le pitch

Edgar Freemantle, la cinquantaine, marié et deux filles, a brillamment réussi en créant son entreprise de travaux publics. Sa vie bascule un jour lors d’une inspection sur un chantier, lorsque son véhicule au volant duquel il se trouve est écrasé par une grue mobile. L’accident lui coûte un bras, de graves lésions corporelles et des dommages au cerveau qui lui provoquent des amnésies partielles et des troubles du langage. Il lui coutera aussi son mariage, ses accès de colère décidant sa femme à demander le divorce. Alors que rien ne peut sembler aller plus mal, un ami psychologue lui fait la suggestion d’un traitement géographique, en changeant de lieu et d’environnement. C’est ainsi qu’Edgar va prendre une location pour un an sur Duma Key, une petite île de Floride. Ce nouvel environnement paradisiaque va lui permettre de se reconstruire, physiquement et mentalement, et lui donner le gout du dessin et de la peinture. Mais il va s’apercevoir que ses inspirations artistiques lui semblent être l’influence d’une forme de force mystérieuse, et que sa venue sur l’île n’est peut-être pas le seul fait du hasard…

Avis

Je m’efforce de faire toujours un pitch attractif, sans trop dévoiler le récit ; celui-ci est long et il se passe beaucoup de choses, il est passionnant, captivant, et très évasionnel. J’aime beaucoup imaginer les lieux d’après les descriptions, et cette façon de faire d’un endroit une entité comme un personnage. On n’envie pas le personnage principal d’Edgar pour les souffrances qu’il endure, mais on envie un peu la possibilité qu’il a de s’offrir ainsi une nouvelle vie. Stephen King ne laisse jamais de côté la psychologie de ses personnages et les relations entre eux, et elles ont aussi une part importante dans ce récit fantastique.
C’est ma seconde lecture de ce roman, et c’est très rare que je lise deux fois un livre, tant mon rythme de lecture est lent, et qu’il y en a tant d’autres à lire. C’est en fait la lecture de Joyland qui m’a évoqué le souvenir de ce roman que j’adore, que j’avais lu il y a deux ans, et qui m’a donné envie de m’y replonger. Quand vous l’entreprenez, c’est le genre de récit qui vous donne ce genre de hâte, tout lâcher et y retourner !

Artworks

Quelques œuvres picturales issues de la toile inspirées par ce roman

Big Pink Fin de partie Fille et bateau Perse Perse et coucher de soleil Perse Perse Wireman regarde à l'ouest

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